Que ce soit pour une compétition ou tout simplement pour prendre soin de son animal, il est toujours primordial de bien veiller sur ses performances. Mais comment faire ? Beaucoup d’éleveurs de chevaux se contentent de la belle forme physique de leur animal pour déterminer leurs performances. Or, cette forme doit être entretenue régulièrement pour ne pas avoir à abaisser la performance du cheval. Mis à part un bon matériel d’équitation, il y a d’autres facteurs principaux des bonnes performances équines. Ici, trois critères majeurs interdépendants entrent en jeu : la génétique du cheval, son entraînement et son type de carburant ou son alimentation. À cela s’ajoute également la motivation de son maître de bien prendre soin de lui non seulement pour optimiser son fonctionnement musculaire mais également son rythme cardiaque et son aptitude mentale. Voici donc comment faire soutenir ces performances.
La génétique du cheval
Parmi tous les animaux de la ferme, le cheval compte parmi les plus importants et qui tiennent un rôle intermédiaire pour l’homme. Non seulement, c’est un animal de rente très apprécié, mais c’est aussi un fort synonyme de puissance puisqu’il fait travailler en même temps ses muscles, sa puissance, sa vitesse et toutes ses autres aptitudes spéciales. Selon les mythes, élever ou en manger porte chance, force et succès. Il constitue également une source de richesse incroyable pour les fans de l’équitation. Il est à la fois présent en ville qu’en brousse. Côté physique, il a l’avantage d’être plus grand et plus performant. Ce qui fait de lui un animal de compagnie à part entière. Son originalité impose que l’on s’occupe davantage de lui. Grand comme il est, il nécessite une importante prise en soin licol cheval. Pour mieux booster ses performances, il faut la consultation d’un généticien qui s’impliquera massivement pour permettre au cheval de rester en bonne santé, de devenir plus performant, et d’avoir une catégorisation plus élevée.
L’entraînement du cheval
Eh oui, l’entraînement aussi est très important pour améliorer les performances de son cheval. Cela impacte à la fois sur son système cardio-vasculaire que sur son appareil musculaire. Certes, sa respiration est aussi un critère à prendre en compte, mais les capacités respiratoires des chevaux ne sont guère améliorables. L’entraînement consistera uniquement donc à booster son aérobie et sa résistance à l’effort physique. Pour un cheval bien entraîné, la fréquence cardiaque est plus faible. Ce qui contribue à lui permettre d’avoir plus d’oxygène et d’être plus performant. Cet entraînement sera également utile pour réduire la concentration en lactates dans le sang du cheval. Le maître devra varier l’entraînement de son animal et lui attribuer les meilleurs équipements possibles tels qu’un gilet de protection, une couverture cheval bien adaptée. Un cheval au galop doit aussi disposer d’un licol cheval adéquat. Il existe un bon nombre de types de licol sur le marché : en cuir, en nylon, en corde et éthologique. Ceci permettra à son maître de mieux l’attraper lorsqu’il s’enfuira. Car plus un cheval est performant, plus il sera puissant et donc imbattable.
L’alimentation du cheval
Comme pour l’homme, il est également plus efficace de combiner l’entraînement avec une bonne alimentation. L’aliment est un facteur décisif dans les performances d’un cheval. Il doit être riche en protéines. Le cheval a besoin d’aliments équilibrés qui seront uniquement développés par des nutritionnistes équins. Autrement, cela peut détruire leurs performances physiques. Certes, ceux-ci sont trouvables sur le marché, mais il importe toujours de demander conseil à des professionnels de l’animal, à des vétérinaires ou à des nutritionnistes spécialisés cheval. Sur ce, il faut retenir que même si le cheval est classé comme un animal assez grand, son drainage ne devra se faire trop fréquemment. Le mieux, c’est que sa ration soit partagée pour lui permettre une bonne digestion enzymatique. Cela l’évitera de souffrir de la diarrhée ou bien de douleur intestinale. Pour un cheval pesant environ 500 kg, il suffit de diviser en deux les quantités proposées sur l’emballage. Un cheval peut aussi prendre des compléments alimentaires. Là, il faudra bien faire attention, car il y a des produits qui ne sont vraiment pas appropriés.